en savoir plus sur les territoires improbables

cette page fait suite à la page : Territoires improbables (2003 – 2004)

 

Détail, macro-photographie utilisée pour les territoires improbables n°7 et 8           ©Gilles Rey

 

Les Territoires improbables ont été réalisés avec le même logiciel que celui utilisé pour les Paysages terrestres (vue d’artiste). Si pour les Paysages terrestres la totalité du rendu des images (végétation, lumière, rendu atmosphérique) a fait exclusivement appel à des algorithmes, pour les Territoires improbables le rendu de surface s’est servi de photographies de roches, de lichen, d’alluvions…

La cartographie du relief s’établie dans le logiciel à partir d’un document noir et blanc où les valeurs de gris déterminent l’altitude (noir au plus bas, blanc au plus haut); à cette fin chaque photographie a été retravaillée pour créer ce document, un terrain, dont les niveaux de gris pourront fournir les données pour un relief vraisemblable; la photographie d’origine donnera elle les informations de couleur du futur paysage.

 

A gauche : la photographie d’origine; à droite : l’interprétation qui fournit les informations  d’altitude.

 

Ci-dessous : le passage de la photographie d’origine à sa mise en perspective et en relief.

 

Ci-dessous : l’intégration dans Territoires improbables n°1 (image en haut au centre)

 

Territoires improbables, n°1, 2004                                                               ©Gilles Rey

 


Aller à la page : Paysage terrestre (vue d’artiste)

Aller à la page :  Séquences de photographies d’amateurs

Aller à la page : Panoramas (2003)


Avancer à la page : Travaux documentaires


Revenir à la page : Territoires improbables


Revenir à la page : On va marcher sur la terre


Retour à la page : Accueil