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Les prises de vues, puis les tirages, s’inscrivent sur trois plans alignés en profondeur et se superposant à l’intérieur d’une pyramide virtuelle : analogie avec un champ visuel qui serait fractalisé, décomposé en trois captures photographiques de 9 points de vue chacune.
Le site de prise de vue (soigneusement choisi pour sa compatibilité scénographique avec le projet) va être ausculté par ce balayage photographique.
La juxtaposition et la comparaison de chaque point de vue renouvelle et complète la compréhension que nous avons du lieu; dans le même temps la vision synthétique d’un lieu – montré comme une fenêtre sur le monde – est éclatée.
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