Les Paysages urbains au crépuscule traitent de la fragilité de la perception de la couleur : à partir de ce que nous voyons, en passant par ce qu’enregistre la pellicule argentique, jusqu’à ce que le tirage, finalement, nous restitue.
Cette série montre comment l’éclairage urbain (de la fin des années 80) entre en rivalité avec une lumière crépusculaire, comment cette situation lumineuse instable produit des retournements chromatiques qui redécoupent le paysage au gré de couleurs inattendues.
Série “Paysages urbains au crépuscule” : Tirages Ilfochrome, 29cm x 29cm, Edition non numérotée.
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