
Série “D’où l’on est – ce que l’on voit”, Exposition au Stadtmuseum, Tübingen, 1994 ©Gilles Rey
Pour “D’où l’on est – ce que l’on voit” le premier enjeu a été de montrer comment l’image d’un lieu peut se recomposer avec le plus petit déplacement du point de vue.
Plus généralement ce projet a assumé un parti-pris formel en travaillant sur une suite de questions précises qui s’enchainent depuis la prise de vue jusqu’à la finalisation des tirages et de leur encadrement.

Série “D’où l’on est – ce que l’on voit”, Chambéry, 1991 ©Gilles Rey
La série joue des occultations et des dévoilements qui suivent le déplacement du point de vue : d’une photographie à l’autre une idée du lieu demeure, mais au final la projection que nous construirons ne sera plus la même.

Série “D’où l’on est – ce que l’on voit”, Freiburg, 1993 ©Gilles Rey

Série “D’où l’on est – ce que l’on voit”, Heidelberg, 1993 ©Gilles Rey

Série “D’où l’on est – ce que l’on voit”, Heidelberg, 1993 ©Gilles Rey

Série “D’où l’on est – ce que l’on voit”, Karlsruhe, 1993 ©Gilles Rey
Série “D’où l’on est – ce que l’on voit” : édition limitée à 8 exemplaires; 160cm x 80cm.
2 Tirages Ilfochrome : 48cm x 48 cm (monté sous passe-partout), 80cm x 80cm (contrecollé sur aluminum).
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